mardi 15 septembre 2009

Quand Boris Prend L'Avion, Il Le Remet Toujours A Sa Place Après

*Ce message est sponsorisé par ta mère*

En direct de la délicieuse ville de Norwich où l'on y raconte qu'il y a un bar par jour de l'année. L'année anglaise étant évidemment constituée de 22'537 jours tellement qu'ils sont chauds. Je vous parle en ce moment même depuis un confortable matelas placé en perpendiculaire de celui de mes parents dans une petite chambre d'hôtel. Une nuit dans ce lit = 6 ambulances/voitures de police qui sont passés hier avec leurs gyrophares. Autant vous dire que je serais physiquement méconnaissable après mes 26 agressions pendant ma première semaine de cours. En ce moment même il est 23:11 chez vous, et je vais essayer de pas trop vous ennuyer avec mes sottises d'enfant perdu en Angleterre.

Soit, en bref, l'avion a eu 3:30 de retard (ce qui est à peu de chose près égal à 16 heures et 49 minutes sans iPod), et à partir de 5 heures de retard, ils te remboursent ton vol. Autant te dire que le gars il a fait pété les réacteurs et il a pris une heure de vol plutôt que 1h30.

Je pose ma main sur la barrière de l'escalier et je sens le soleil chaud et relaxant poser ses heureux rayons sur mon visage. Le doux son de quelques oiseaux se dissipent doucement à travers les voix mélodieuses des passagers qui sourient et rigolent chaleureusement. Et donc, vers ce moment là je me réveille, je sors de l'avion. On pète de froid. Il y a du vent. Il y a une suisse allemande qui gueulent en direction d'un gars environ soixante mètres devant depuis l'arrière de l'avion et il y a un blaireau qui a oublié son sac à l'arrière de la queue et qui se la joue rambo version hôtesse de l'air.

En fin de compte on fini par se tirer, prendre les sacs, louer une voiture, faire 2 heures de route pour arriver à Norwich pour arriver dans ma chambre d'hôtel où la température de la douche ne peut pas être réglée et a été placée sur l'agréable niveau de 47 degrés. Après j'ai dormi, facebooker avec une partie d'entre vous. Découvert les joies du taggage de gens dans les statuts (sans doute une révolution pour ce qui est du potentiel blague de facebook).

Aujourd'hui, on est allé visiter mon Université où, incroyablement, tout le monde était tellement gentil qu'ils pouvaient qu'être drogués ou sinon c'est des cyborgs. On a été regarder une chambre normale depuis une fenètre, autant vous dire qu'il faut pas avoir prévu de s'étirer ou tu risque de te retrouver avec les pieds dans la hall, la tête dans les chiottes et les bras dans la chambre de quelqu'un d'autre.

Je pousse probablement un peu, parce qu'au fond la ville est particulièrement jolie, verte, les gens sont vraiment sympathiques et souriants (mettez ça en parallèle avec le Londres, si tu me parles je fais un drive-by au Uzi devant chez ta grand mère) et il fait aussi froid que ça (un très confortable 18 degrés) et en plus, il pleut pas. avant demain.

Je vais vous laisser là. Demain je m'en vais retourner dans la délicieuse ville de Londres pour que mon père rentre en avion et après je m'en vais voir mon oncle chercher des livres de cours et des vinyles. J'essaierai de prendre des photos pour égayer mon texte littéraire et étudié. En attendant, je vous aime tous.

JML


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